lundi 15 décembre 2008


Dès la détonation, Marie s’était précipitée vers l’entrée des toilettes. Deux collègues l’avaient suivi, s’attendant au pire. Rassurés de la voir vivante, ils l’avaient laissée en arrière pour enfoncer la porte verrouillée de l’intérieur.
En retrait, Marie, restait debout avec Chien qu’elle tenait par le collier. L’animal, agité, couinait de tristesse. Il avait compris.
Tout comme Marie.

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